Baisse des remboursements de la Sécurité Sociale : comment les mutuelles compensent ?

Une politique d'économie est en cours

À l’heure où les taux de remboursements de l’Assurance Maladie baissent, il est essentiel d’être affilié à une bonne mutuelle. C’est encore plus vrai lorsqu’on est travailleur frontalier. 

L’Assurance Maladie mène actuellement une politique d’économie. Des médicaments et des soins sont désormais moins remboursés par la Sécurité sociale. Depuis le début de l’année, par exemple, le taux de remboursement des consultations médicales est passé de 70 à 65 %. Même chose pour les médicaments, dont le taux de remboursement a reculé de 5 %. Seuls les médicaments remboursés à 100 % ne sont pas concernés par cette mesure. Au final, ce sont les assurés qui supportent la différence, obligés par la force des choses d’assumer une part plus importante de leurs dépenses de santé. Sur ce point, tous les assurés sont logés à la même enseigne, y compris les travailleurs frontaliers qui ont toutefois le choix de cotiser à la LAMal (assurance maladie suisse) ou au STFS (le département de la CPAM qui gère les frontaliers). 

Résultat : quand la Sécu se désengage, il est essentiel d’être affilié à une bonne mutuelle qui prend le relais et offre à ses adhérents la couverture la plus large pour des frais souvent onéreux comme les soins dentaires ou l’optique. Dans ce contexte d’inflation médicale et de remboursement limité par la Sécurité sociale, la mutuelle santé devient un élément incontournable pour compléter cette couverture.

Choisir une mutuelle de travailleur frontalier

Lorsqu’on est travailleur frontalier, une mutuelle classique suffit rarement à couvrir efficacement les dépenses de santé. Ce public a donc intérêt à opter pour une assurance dédiée, comme la Mutuelle La Frontalière, qui apporte des garanties sur mesure à ses adhérents français qui exercent leur métier en Suisse. La Mutuelle La Frontalière a développé des forfaits sur mesure pour ses adhérents, selon qu’ils sont affiliés à la LAMal ou affilié au STFS. Quel que soit leur régime, les adhérents ont même le choix, selon leurs besoins, entre 6 niveaux de garantie : de 100 à 300% de base du remboursement de la sécurité sociale. 

Par exemple, les couvertures les plus élevées vont jusqu’à 300 % du barème de remboursement de la Sécurité sociale pour le poste des honoraires médicaux. Autre exemple : souscrire à l’offre C300 lorsqu’on dépend du STFS, c’est bénéficier d’un forfait de 800 euros pour les soins dentaires et de 600 euros pour l’optique !

Une mutuelle de proximité et une qualité de service !

Mais une bonne mutuelle ne s’évalue pas seulement à sa capacité à pallier le désengagement de la Sécu. La qualité du service pèse dans la balance. Sur ce point, la Mutuelle La Frontalière est proche de ses adhérents, dont elle connaît parfaitement les problématiques auxquelles ils sont confrontés. La réactivité et la proximité sont des qualités reconnues de cet organisme, autant que la compétitivité de ses forfaits. Cet établissement, qui a son siège à Morteau, dans le Doubs, gère rapidement les dossiers dont il est saisi. Ainsi, les remboursements sont effectués sous 48 heures. De la même manière, elle adapte ses tarifs à la taille de la famille, offrant 20 % de réduction sur le deuxième enfant et la gratuité à partir du troisième enfant de moins de 20 ans.

Avec la baisse des remboursements de la Sécurité sociale et la spécificité des soins transfrontaliers, souscrire à une assurance “travailleur frontalier” adaptée est indispensable pour éviter les frais imprévus et bénéficier des meilleurs soins possibles. Mais une fois encore, indépendamment des niveaux de remboursement, c’est la dimension humaine de la mutuelle qu’il faut évaluer avant d’y souscrire. Une mutuelle qui répond présente dans les moments difficiles, c’est essentiel. Là-dessus, on peut faire confiance à la Mutuelle La Frontalière.